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BELLEVOYE

Le whisky français a le vent en poupe, comme disent les marins, et c’est tant mieux, car les plus belles routes (ou belles voies…) ont souvent été tracées par les bateaux. Les fondateurs du whisky Bellevoye aiment à jouer avec les mots, ils ont donc appelé leur société de spiritueux “ Les bienheureux “, sûrement pour faire de leur whisky le moyen de voir la vie en rose… Car les créateurs du whisky Bellevoye apprécient de jouer avec les couleurs, et c’est ce que nous allons vous démontrer à travers la présentation de leurs cuvées. 

Une histoire d’amitié

Bellevoye, ce sont deux amis qui décident, selon leurs mots, de faire un whisky après avoir hésité à se lancer en politique. La raison ? Parce que Jean Moueix et Alexandre Sirech n’acceptent pas d’assister à ce qu’ils nomment “ la lente dégringolade de la France “. Produire un whisky pour permettre à son pays de redorer son blason, voilà un projet d’entreprise original. Ils décident donc de créer du beau, produire du bon et faire du bien. On vous avait prévenu, les deux comparses aiment jouer avec les mots, mais qu’en est-il de leurs breuvages ? Objectivement, ils sont fidèles aux engagements de leurs créateurs puisqu’il s’agit de whiskies respectueux de la planète. L’orge utilisée pour la fabrication des malts est issue de l’agriculture biologique, la distillerie a été pensée selon un cahier des charges drastique en termes de traitement des effluents et aucun plastique n’intervient dans la conception des emballages. 

Pourquoi un whisky de luxe ?

L’idée de produire un whisky de luxe fait écho au constat établi par Alexandre Sirech et Jean Moueix, les créateurs du whisky Bellevoye. Ce constat est le suivant : les gens boivent moins d’alcool, mais ils boivent mieux et sont prêts à payer plus cher si cela permet de défendre des valeurs humanistes et progressistes. Lancer un whisky français en pariant sur le chauvinisme et l’attrait pour une nouveauté onéreuse était donc un pari. Un pari réussi puisque, tous les deux ans depuis 2015, le whisky Bellevoye double son chiffre d’affaires. 

Des idées plein les cuves

Fort du succès du whisky Bellevoye, Alexandre Sirech et Jean Moueix ont décidé de ne pas s’arrêter là. Ils ont déjà créé le rhum El Pasador de Oro, une bière aromatisée au thé, et bientôt un thé alcoolisé…

Bellevoye, une histoire en couleurs

La gamme des whiskies Bellevoye se décline en 7 couleurs :

       Orange comme le vesou pour un whisky aromatisé au rhum du Guatemala.

       Bleu comme le ciel, surtout quand un whisky est celui choisi par Air France pour sa clientèle de la classe affaires.

       Prune comme le fruit, car des barriques de vieilles prunes peuvent aussi servir à faire vieillir du whisky.

       Vert comme la pomme qui fait le calvados, un calvados donc les fûts de maturation peuvent aussi servir pour le whisky.

       Noir comme la tourbe, car ce combustible typique des whiskies de Islay n’est pas réservé exclusivement aux production écossaisses.

       Blanc comme un vin blanc, car des fûts ayant servis à l’élevage de grands vins de Sauternes sont achetés par Bellevoye pour ses whiskies.

       Rouge comme un vin du bordelais, car des fûts de chênes qui ont hébergé des grands crus du Médoc peuvent servir plus d’une fois…